vendredi 24 février 2012

jeudi 23 février 2012

mardi 14 février 2012

France 2, Télématin, journal de 08h

[Elles] ont choisi de parler à la presse, à l'occasion d'une marche silencieuse...

No Comment

vendredi 10 février 2012

Thanks, Brother !

Je suis fatiguée...

J'ai pas envie de travailler.
J'ai pas envie de rentrer.
J'ai pas envie de sortir.
J'ai pas envie de causer.
J'ai pas envie de lire.
J'ai pas envie d'écrire.
J'ai pas envie de dormir.
J'ai pas envie...

Je sens les valises grossirent sous mes yeux, ils veulent capter de nouveaux horizons, je m'ennuie, mon cerveau s'embrume.

La cafèïne ne peut plus rien pour moi à ce stade.

Et je sais que ce soir je péterait le feu, je me connait.

jeudi 9 février 2012

The History of the Universe in 10 Minutes from bdwilson on Vimeo.

Je suis en train de lire :

In the Beginning: Science Faces God in the Book of Genesis By Isaac Asimov
[...]but scientists, are not disturbed by difficulties-those make up the game. If all the difficulties were gone and all the question answered, the game of science would be over. (scientists suspect that will never happen.)
C'est passionant comme lecture : il explique également un peut plus haut une différence flagrante entre la Bible et la Science :
- La Bible n'est pas prouvé mais est autoritaire et absolue dans ses affirmations.
- La Science n'est pas autoritaire et absolue mais se base sur des preuves dans ses affirmations
There is a disagreement there that is deeper and more important than the words themselves.
J'en suis à la 17éme page et il n'a pas fini la critique du deuxième verset. Ce sera long mais quand on aime...

mercredi 8 février 2012

Pages blanches

Je n'ai toujours pas le debut d'une rognure d'ongle d'inspiration, pour le commencement d'une histoire à écrire. En attendant, j'envisage de plus en plus d'écrire une autobiographie romancée.

Au mieux, me remettre à écrire, dans le but d'écrire un bouquin, va me faire venir de meilleures idées. Au pire, j'aurais écris un truc impubliable, car ennuyeux à mourir.

Il est souvent dit que avant de mourir votre vie vous passe devant les yeux. C'est en fait vrai, ça s'apelle vivre.
Sir Terry Pratchett

Juste pour mon anniversaire



J'espère que ce sera un chouette cadeau.

mardi 7 février 2012

What you're gonna do when they come for you ?

BAD TOYS II from BAD TOYS II on Vimeo.

Dans mes stat "Blogger", les connexions qui viennent d'un PC sous Ubuntu sont différenciées de celles venant d'autres distributions Linux... un rien m'amuse.

Windows
2 666 (77%)
Linux
368 (10%)
Ubuntu
175 (5%)
Macintosh
110 (3%)
Other Unix
104 (3%)
Android
16 (<1%)
iPhone
14 (<1%)
iPad
3 (<1%)
Linux 2.4.22-10mdk
1 (<1%)
Nokia
1 (<1%)

Je ne serais détruite...

que quand je cesserait de ressentir au moins de la miséricorde pour un être humain, n'importe lequel.

Je pleure, de temps en temps, ce n'est pas de la faiblesse, juste la cicatrisation des blessures. C'est quand la bête est blessée qu'elle est la plus dangereuse.

Je ne serais détruite que quand mon cœur sera froid et dur prèts à étre brisé comme du verre. Les palpitations dues à la rage ne ressemblent en rien à cela.

dimanche 5 février 2012

STOP ! arretez tout regardez ça !



Vous pourrez retournez à une activité normale après ou pas...

tiens en parlant de neige...

Bon d'accord

Le froid sibérien n'a pas QUE des désagréments et le blanc pailleté et duveteux c'est très classe. Jolie démonstration pour mon réveil... Mais il y a intérêt à ce qu'il n'y ai plus rien sur les routes demain matin !!! y'en a qui bosse !

vendredi 3 février 2012

reconduite à la frontière

J'ai froid, et plus j'ai froid plus je suis de mauvaise humeur. Le froid "sibérien" va pas falloir qu'il me cherche.

Il est ou monsieur Guéant quand il y a une reconduite à la frontière qui serait utile ? C'est la mafia russe qui lui fait peur ?

Allez hop ! le vent et la glace de retour en sibérie en charter !

jeudi 2 février 2012

J'ai fini de relire "Moi, Asimov"

Et cette fois, j'ai réussi à ne pas pleurer.

Une des dernières choses qu'il a écrites :

En l'espace de quarante années, j'ai publié un texte tout les 10 jours en moyenne.
Pendant la seconde moitié de ces quarante ans, j'ai publié un article tous les 6 jours en moyenne.
En l'espace de quarante années, j'ai publié en moyenne 1000 mots par jour.
Pendant la seconde moitié de ces quarante ans, j'ai publié en moyenne 1700 mots par jour.

C'est, surement, une des recettes du bonheur.

mercredi 1 février 2012

voila comment faire un Buzzzz !

Je m'ennuie...

En ce moment, je fait beaucoup de changement dans ma vie. Je me secoue, et éjecte dans le processus beaucoup de choses qui m'encombraient l'esprit. Du coup, je redécouvre une sensation désagréable et étrange : je m'ennuie. Un ennui enfin profond, l'esprit vide, je tente d'abord de le remplir avec les milles distractions qui se proposent à moi, j'en dispose, mais ça ne suffit pas ou plutôt ça ne convient pas.

Et soudain, sensation délectable et étrange : mon esprit se remplis tout seul, je retrouve mon imagination, et peut être au final l'inspiration. Depuis une dizaine d'années ça ne m'arrivait plus et en souvenir de mes écrits, entre 18 et 20 ans, je croyais que je ne pouvais écrire que malheureuse et névrotique, la dépression et l'anxiété ne suffisait apparemment pas. Mais en fait j'avais juste besoin de m'ennuyer, profondément, lors de longs dimanches d'hiver.

mardi 31 janvier 2012

Parfois...

...Quand on a trop bu
On fait pipi dans le lavabo
C'est rigolo mais c'est pas beau
Parfois, on vomi dans la rue
Et c'est déjà moins marrant
Souvent, c'est encore moins amusant :

IVRE

dimanche 29 janvier 2012

There's no women on the internet

C'est vrai, il n'y a pas de femmes sur internet, mais il n'y a pas d'hommes non plus, pas de black, pas de blanc, pas de beurre, etc... Juste des êtres humains qui échangent des idées et des choses. Même si ceux ci proclament avoir une identité sexuée peu importe : Une d'identité, sexuelle ou autre, reste une idée a partager.

samedi 28 janvier 2012

Je triche

A cette heure la ce jour la j'étais en train de rire et pleurer devant ça :

jeudi 26 janvier 2012

Parfois, il vaut mieux allumer un lance flamme à la place de maudire les ténèbres.

Sir Terry Pratchet

mercredi 25 janvier 2012

C'est comme de demander à du Granit de comprendre un sucre...

Jolie métaphore mon frère, et j'ai envie de la développer :

Ce qui est beau, c'est que même si il ne comprend pas pourquoi le sucre fond, le granit peut le protéger de la pluie.

Au sucre, il ne reste plus qu'a veiller que l'eau ne monte pas trop. Au pire, le granit pourra admirer comment le sucre se recristallise, au fur et à mesure que l'eau s'évapore.

Au sucre aussi de se souvenir, qu'a force de se prendre des rafales le granit ça s'érode et ça fissure même, parfois. Il faut qu'il pense sérieusement à se construire un étui étanche avant une éventuelle prochaine pluie.

Ainsi le granit, pourra aller prendre une belle retraite tranquille au sec et au soleil, sans inquiétude pour le sucre qui se promènera au loin en lui faisant des coucou...

mardi 24 janvier 2012

J'aime conduire la nuit...

J'aime quand la route est déserte et que ma sécurité ne dépend que l'entente entre moi et la machine vrombissante sous mes doigts. J'aime quand je ne voit que la route devant moi et que tout le reste, l’accessoire, disparaît dans les ténèbres. J'aime aussi les lueurs entraperçues au loin, à la limite de ma vision périphérique. J'aime que la route que je doit suivre soit si claire et fluide et qu'elle disparaisse tranquillement sous moi.

La route future dans la lumière de mes phares, moi présente assise au chaud et au calme maîtrisant la situation, et la route passée s'effaçant doucement dans mon retroviseur.

vendredi 20 janvier 2012

Je ne croit pas qu'internet soit une zone de non-droit, mais je veut qu'elle reste une zone de Liberté (et un petit peu d'anarchie).

A part ça, je m'en tape je vais pas sur Mega-upload.

mardi 17 janvier 2012

Buenos Dias...

Il m'arrive encore et souvent de pleurer mon père.Parfois la douleur que je ressent me donne envie de vengeance, mais je ne peut pas dire "tu a tuer mon père, prépare toi à mourir" à une palette de bouteilles de whisky. L'idée reste amusante et voir cette scène me défoule :

Inigo Montoya par -Gor-

jeudi 12 janvier 2012

ils ont beau améliorer l'image



C'est pas ça qui améliorera le scénario de cet épisode (et pourtant je suis fan de la série)

samedi 7 janvier 2012

Marcher dans l'herbe

Comme je l'ai déjà indiqué, il y a quelques temps, la gestion des espaces verts la ou je travaille est très "carrée". Depuis, l'herbe a poussée et remplacée la boue, malgré le désherbant et les tondeuses.

Des parkings et autres chemins pavés ou goudronnés encadrent l'herbe verte. Mais ceux ci, comme le reste, sont taillés au cordeaux, à angle droit, contre tous respect du chemin le plus cours et du relief du terrain.

Alors moi, je marche dans l'herbe, les pieds reposées par le matelas des herbes sur le sommier de la terre, et je "coupe à travers". Mais et c'est la ou je ne comprend pas : C'est que d'autres (la majorité) continuent à passer par ce labyrinthe idiot préférant la dureté et les angles droit sous les semelles de leurs chaussures fermées.

Et moi devant, je marche dans l'herbe, et nettoie mes chaussures quand il le faut.

samedi 31 décembre 2011

Prequel de quelque chose que vous ne verrez que Noël prochain



Si vous avez la peur du gendarme... sinon... moi, je serais vous je me méfierais avec l'apocalypse tout ça...

jeudi 29 décembre 2011

Celle-ci c'est pour ma mêre et mes frères

Finalement prêter de l'argent est ma façon d'exprimer une sincère gratitude : j'aurais très pu me retrouver dans la situation en inverse. En outre, je n'escompte pas récupérer ma mise. premièrement en considérant chaque prêt comme un cadeau en puissance, je me montre réaliste, j'accepte cette éventualité. Quand on emprunte à ses amis, on n'est pas toujours en mesure de rembourser et naturellement, je ne relance jamais personne. Ensuite, en ne m'attendant pas à ce qu'on me rende ce que j'ai prêté, je m'évite des désillusions.
Moi, Asimov


En recommençant ma lecture de ce livre, je me suis souvenue a quel point, lors de ma première lecture, j'avais pleuré à la fin (la fin logique à une auto-biographie, publiée en 1994, d'un homme né en 1920 et terminée par la plume de sa femme). J'ai alors eu la pensée déprimante que tous les gens valables que j'aurais voulu connaître étaient morts de toute façon. Mais, plus j'avance dans le livre plus ses anecdotes me rappelle les gens qui m'entourent (et plus rarement me rappelle mes propres qualités), celle-ci-dessus me rappelle ma famille à qui je doit tant de choses, et dont j'ai encore tellement besoin en ce moment. J'espère un jour pouvoir vous rendre au moins une partie de ce que je vous doit (et pas seulement au niveau pécunier) et je vous souhaite que vous n'en ayez jamais besoin.

Isaac Asimov avait une très haute opinion de lui-même et depuis le plus jeune âge (au point d’être insupportable pour ses professeurs tout en sautant 3 classes). Sa vie ne lui a pas donné tort. Je lui envie cette confiance en lui même qui ne l'a jamais quitté. Mais du coup, son autobiographie est emplie d'optimisme et d'amour de la vie, dont j'ai bien besoin en ce moment et qui complète les efforts de ma famille. Aussi, ne vous inquiétez pas, au réveillon, je ne serait pas seule, je serais avec Isaac, au chaud au coin du feu, le chat sur les genoux.

Je vous aime.

mercredi 28 décembre 2011

Ma lecture du moment

Donc, j'étais le type même du"rat de bibliothèque". Ceux qui ne connaissent pas ce penchant doivent trouver bizarre qu'on ait sans cesse le nez plongé dans un bouquin, qu'on gaspille ses années de jeunesse insouciante sans profiter de ses joies et de la dépense physique. Ils discernent sans doute quelque chose de triste, voir tragique, ils se demandent ce qui peut bien pousser un gamin à se comporter ainsi. Mais on ne voit les merveilles de la vie que quand on est heureux ; l'insouciance ne va de pair qu'avec le bonheur ; et les joies de la pensée, de l'imagination, sont bien supérieures à celles des muscles et de l'effort. Laissez moi vous dire, si vous ne le savez pas par expérience, que certaines personnes (moi par exemple) trouvent dans un bon livre, dans l'immersion dans les mots et les idées, un bonheur d'une intensité insoupçonnée. Quand je veux invoquer des souvenirs de paix, de sérénité, de plaisir, je repense à ces paresseux après-midi d'été, je me revois en équilibre sur ma chaise, un livre sur les genoux ; j'entends encore le bruissement des pages tournées tout doucement. Peut-être ai-je connu, à d'autres époques de ma vie, de plus hauts sommets d'extase, de grand moment de soulagement ou de triomphe, mais sur le chapitre du bonheur tranquille, paisible, je n'ai jamais rien vécu de comparable.

Moi, Asimov

Je dédis cette citation à tous les gens comme lui et moi.

dimanche 18 décembre 2011

Tête de Bouddha

Il y a des années, pendant les soldes, je suis tombée devant une rangée de têtes de Bouddha, toutes identiques, au détour d'un magasin de déco qui se prétend pour les maisons du monde. J'ai donc acheté une tête de Bouddha en solde... me rendant parfaitement compte de l'ironie de la situation.

C'est un moulage d'une tète de Bouddha en faux granit noir et mauvaise résine.

Hier, suite a une longue histoire, je l'ai retrouvée toute poussiéreuse sous un tas de cartes mère. Je l'ai prise dans mes bras, nettoyée sous la douche avec moi, prise dans mes bras et posée sur ma table de nuit... pour que je puisse me plonger dans son regard les nuits d'insomnie.

Je ne m'attache pas aux choses mais a ce qu'elle représentent.