vendredi 20 mai 2011

J'aimerais que les feministes de tous poils cessent de confondre le manque de respect envers une femme violée et le besoin, désespéré, de pouvoir faire confiance à 1 homme politique.
J'ai toujours un frisson qui me parcours quand j'entend autour de moi des gens parler avec fierté de leur consommation excessive et répété d'alcool.

Se reveiller d'une cuite et enchainer sur l'apéro quel exploit !

Je déguste de temps en temps de l'alcool et j'apprécie la sensation de vertige associée, mais je n'ai jamais pris "une putain de cuite mon vieux".

C'est dans ces moments la que les souvenirs de mon père sont les plus pesant et que j'ai envie de hurler de colère, leur jeter leurs bêtises au visages, et les innonder de bon sens.

Mais je ne le fait plus sinon je passe pour une folle... Le concept de folie est décidément très relatif.