jeudi 28 juin 2012
Caméra de surveillance personelle
sous-titre : Mais heu... elle pense jamais à l'éteindre son PC portable (ou même à le fermer)? Haking ou pas un ordinateur éteint, ben, c'est un ordinateur qui fait plus rien même pas filmer encore moins retransmettre (et moi je m'en fou j'ai un cache sur ma caméra).
La clinique de l'Amour
Vous vous souvenez du cri de rage à propos du café que j'avais partager ici il y a quelques mois ? (si vous ne vous souvenez pas le blog si, je vous laisse chercher)
Ce cri primal avait été poussé par Artus de Penguern et il a (re)fait un film : La clinique de l'Amour :
Ce film c'est un peu d'Urgence et de la Clinique de la Forêt Noire. Dans ce film, au mépris des maladies nosocomiales, les chirurgiens et infirmières baissent constamment leur masque pour se parler au dessus de patients non recousus. Dans ce film, il y a une moto magique. Dans ce film, une infirmière brune, aux lèvres rouges et aux yeux bleus, qui s'appelle Samantha Bitch, porte une tenue tout en cuir noir sous sa blouse fermée par 3 boutons et n'attire aucun soupçon de son entourage. Dans ce film, on apprend que le double décimètre et la batte de base-ball sont des instruments indispensable de la chirurgie. Dans ce film, on apprend que Carl a fait le Vietnam. Dans ce film, les ours sont reconnaissants et ont bonne mémoire (chapeaux au dresseur d'ours d'ailleurs). Dans ce film, on apprend que la chirurgie esthétique s'apprend en 3 mois. Dans ce film, on a la confirmation, que les alcooliques sont un danger pour leur environnement immédiat. Dans ce film, on hurle de joie quand un car se crache et on est heureux quand une terrasse de bar est détruite. Dans ce film, on a comme un flash en pensant à Leslie Neilsen. Dans ce film romantoque, après des rebondissements dignes de Scoubidou et de Star-wars réunis, l'Amour triomphe.
On sort de ce film , essoufflée et heureuse comme si on venait de se taper George Clooney, Harrison Ford, Johnny Depp et Jean Dujardin dans la même soirée (Messieurs mes lecteurs, je vous laisse adapter cette phrase à votre goût elle sort tout droit de mes neurones surchauffées par ce film, malgré la clim' de cette salle obscure ou je suis restée plus ou moins assise pendant 1h30).
Ce film, est meilleur que ce court métrage :
Peut importe que la fête du cinéma se soit terminée aujourd'hui, si ce film ne passe pas dans votre ville : soudoyez un programmeur de salle, faites du stop ou vendez votre mère pour un billet de train SOYEZ INVENTIFS et allez voir LA CLINIQUE DE L'AMOUR !
Ce film est validé par la Maison Blanche et les Papous de Nouvelle Guinée (entre autre).
Mon frère, (enfin faudrais qu'on fasse un test ADN on découvre de ces trucs des fois dans les vieux classeurs... reprenons : ) tu m'a emmené voir ce film après m'avoir fait découvrir Grégoire Moulin contre l'Humanité, la veille à peine. Puis, entre 2 "nom de dieux" post-traumatique, tu m'a dit que tu me laissais faire un résumé : J'espère que celui ci te convient, je ne saurais faire mieux.
Ce cri primal avait été poussé par Artus de Penguern et il a (re)fait un film : La clinique de l'Amour :
Ce film c'est un peu d'Urgence et de la Clinique de la Forêt Noire. Dans ce film, au mépris des maladies nosocomiales, les chirurgiens et infirmières baissent constamment leur masque pour se parler au dessus de patients non recousus. Dans ce film, il y a une moto magique. Dans ce film, une infirmière brune, aux lèvres rouges et aux yeux bleus, qui s'appelle Samantha Bitch, porte une tenue tout en cuir noir sous sa blouse fermée par 3 boutons et n'attire aucun soupçon de son entourage. Dans ce film, on apprend que le double décimètre et la batte de base-ball sont des instruments indispensable de la chirurgie. Dans ce film, on apprend que Carl a fait le Vietnam. Dans ce film, les ours sont reconnaissants et ont bonne mémoire (chapeaux au dresseur d'ours d'ailleurs). Dans ce film, on apprend que la chirurgie esthétique s'apprend en 3 mois. Dans ce film, on a la confirmation, que les alcooliques sont un danger pour leur environnement immédiat. Dans ce film, on hurle de joie quand un car se crache et on est heureux quand une terrasse de bar est détruite. Dans ce film, on a comme un flash en pensant à Leslie Neilsen. Dans ce film romantoque, après des rebondissements dignes de Scoubidou et de Star-wars réunis, l'Amour triomphe.
On sort de ce film , essoufflée et heureuse comme si on venait de se taper George Clooney, Harrison Ford, Johnny Depp et Jean Dujardin dans la même soirée (Messieurs mes lecteurs, je vous laisse adapter cette phrase à votre goût elle sort tout droit de mes neurones surchauffées par ce film, malgré la clim' de cette salle obscure ou je suis restée plus ou moins assise pendant 1h30).
Ce film, est meilleur que ce court métrage :
Peut importe que la fête du cinéma se soit terminée aujourd'hui, si ce film ne passe pas dans votre ville : soudoyez un programmeur de salle, faites du stop ou vendez votre mère pour un billet de train SOYEZ INVENTIFS et allez voir LA CLINIQUE DE L'AMOUR !
Ce film est validé par la Maison Blanche et les Papous de Nouvelle Guinée (entre autre).
Mon frère, (enfin faudrais qu'on fasse un test ADN on découvre de ces trucs des fois dans les vieux classeurs... reprenons : ) tu m'a emmené voir ce film après m'avoir fait découvrir Grégoire Moulin contre l'Humanité, la veille à peine. Puis, entre 2 "nom de dieux" post-traumatique, tu m'a dit que tu me laissais faire un résumé : J'espère que celui ci te convient, je ne saurais faire mieux.
Inscription à :
Articles (Atom)