C'était ce que les anglophones appellent un pulp, c'était un Fleuve noir, c'était un volume du Service de Surveillance des Planètes Primitives. C'était ingénieux et bien écrit, et très superficiel.
Un jour, une grande partie des livres les moins précieux de mon père ont brûlés dans un grand pogrom des espoirs détruits et il ne me reste qu'une des aventures de Marc Stone, mon père a été enterré avec une autre.
C'est ma madeleine, j'y revient de temps en temps, je songe parfois à les chercher chez un bouquiniste d'occasions, ça commence toujours comme ça :
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