mardi 23 août 2011

Quand je pense aux lybiens, je suis soudain bien contente de vivre dans ma bonne vieille démocratie planplan. J'y tiens comme à la prunelle de mes yeux, mais je ne sais pas si je serais capable de la défendre si on me l'arrachait.
J'ai peur qu'au sujet des systèmes politiques imparfaits, se battre pour ce que l'on a jamais connu, soit parfois plus naturel que de protéger ce à quoi on est habitué.

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